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Commentaires

P
<br /> <br /> je n'en parlerai pas...lol!il y toujous du bon t du tres, un peu plus nase toujours, qu'on ecrive, fasse un album, un film, ou autre. mais les longueurs chez vous ne sont jamais trop longues.<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> J'espère, en tout cas, que la lecture te plaît ! :) N'hésite pas à me pourrir, si tu trouves un article mauvais ! :)<br /> <br /> <br /> <br />
P
<br /> <br /> je commence à lire...séduit de plus en plus.<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Y'a du bon et du très bon !<br /> <br /> <br /> (et du très très nase, aussi, mais ça, faut pas en parler ;) )<br /> <br /> <br /> <br />
P
<br /> <br /> SUPER BLOG! BRAVO ET MERCI!<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Mais ... merci à toi de le lire ! :)<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> <br /> "(à peine) soulevée" !!???!!! Nan mais oh ! tu plaisantes ! Tout est là ! C'est parce qu'il y a des pervers comme toi et (dans une moindre mesure) moi pour la regarder que la télé-réalité existe,<br /> et, de ce point de vue, Amélie appuie bien là où ça fait mal. Quoi de plus jouissif que de voir souffrir les autres depuis le confort de son canapé... non pas qu'il s'agisse de sadisme, mais de<br /> l'épicurisme moderne : souviens-toi du "Suave mari magno" de ce cher Lucrèce (avec 18 au bac, je peux m'en souvenir !)<br /> <br /> <br /> Ceci dit, Amélie Nothomb a effectivement écrit des romans encore plus incisifs.<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Ce que je veux dire, cher Illuminé, c'est qu'elle ne va pas assez loin dans son propos. Son livre est tiède, il soulève juste l'indignation, mais ni le dégoût, ni l'abjection, ni la nausée que<br /> l'acte pervers de regarder d'autres gens souffrir pour le plaisir devrait soulever. A croire, au final, qu'il y a quelquechose de complaisant dans son constat ... Et, sans doute, a-t-elle raison.<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> <br /> Il y a beaucoup de pistes de réflexion dans "Acide sulfurique" d'Amélie Nothomb...<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> C'est juste. Cela dit, rarement un roman m'aura autant énervé : tiède, pas assez creusé, inabouti. Prendre un sujet aussi délicat et l'effleurer à peine ... rageant.<br /> <br /> <br /> Au demeurant, oui, c'est vrai, la question de la perversité du téléspectateur y est (à peine) soulevée. :)<br /> <br /> <br /> <br />