Publicité
Publicité
Publicité

Commentaires

M
<br /> <br /> Non, ô Charlie, toi qui brilles au rayon mémoire !<br /> <br /> <br /> Il ne s'agit pas d'une perversité de la langue française ! Tout simplement une histoire d'homographie... Ce n'est tout de même pas la faute des Immortels si le nom son<br /> (sensation auditive créée par une onde acoustique) et l'adjectif possessif son, en plus d'être homophones, s'écrivent de la même façon.<br /> <br /> <br /> (J'explique, hein ! parce que ton commentaire me laisse penser que... euh... bon... ma blague sur le poêle à mazout n'a pas été très convaincante).<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
C
<br /> <br /> Ô mon dieu. Bigre. Heureusement que tu m'éclaires, ça fait complètement plus sens maintenant !<br /> <br /> <br /> (oui, c'est syntaxiquement inexact, cette dernière phrase, c'est mon style, tu le sais bien)<br /> <br /> <br /> Mais c'est un nouveau monde qui s'ouvre à moi, là, d'un coup. Vraiment. Merci !!<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> <br /> Juste pour dire qu'il faut écrire "Les années 1990 battaient encore son plein"...<br /> <br /> <br /> Le truc mnémotechnique que nous avait donné en son temps un professeur d'anglais consistait, pour montrer l'absurdité de la chose, à conjuguer à d'autres personnes J'ai un poêle à<br /> mazout. Et là, on se gondole de rire !<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
C
<br /> <br /> Ah bon ? C'est pas chaque année qui peut battre son propre plein indépendamment des autres ?<br /> <br /> <br /> C'est fou, ça, encore une perversité de la langue française. Moi je revendique le droit de chaque année de battre son plein, mais la possibilité pour toutes les années de battre LEUR plein toutes<br /> ensemble !<br /> <br /> <br /> Je vais écrire aux Immortels, là, ça va barder.<br /> <br /> <br /> <br />