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Commentaires

L
<br /> Mais si ! il m'arrive d'être content ! Je ne faisais que taquiner (toi, pas le goujon !).<br /> <br /> Bien sûr que l'on peut détourner une partition, l'adapter, la distordre... et je n'ai rien contre, d'autant que je suis le premier à le faire !<br /> <br /> Dans cet air d'opéra, je ne suis pas certain que cela ajoute quelque chose à ce qui est prévu à l'origine. Tu mentionnes un soupirant supplémentaire... Ben, en fait, Bizet a déjà prévu cette option<br /> puisque, en plus de Nadir (celui qui chante cette romance), Zurga en pince aussi pour Leila ; et tous deux ont un superbe duo "Au fond du temple saint" (que tu ne manqueras pas d'ajouter à ta<br /> collection de tubes-qui-te-permettent-de-te-recentrer).<br /> <br /> Après recherche, il semble effectivement que ce soit Marcelo Alvarez qui vienne ajouter sa voix de ténor à celle de Salvatore Licitra.<br /> <br /> <br />
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C
<br /> Ce que j'aime, chez toi, mon Illuminé, c'est entre autres ton érudition sur ces questions. Je suis bluffé par ta capacité à rendre tout ça vivant ^^<br /> <br /> En effet, le duo est bien Licitra/Alvarez. Je crois même qu'ils alternent français et italien. faudra que je réécoute.<br /> <br /> Merci pour tout ça ! :)<br /> <br /> <br />
L
<br /> Alors... comment dire... Merci pour la version française (encore que, par moments, on dirait du moldavo-finnois ).<br /> <br /> Mais tu peux me dire ce qui leur a pris de faire une version duo (surtout que je suppose que c'est le même chanteur qui a superposé sa voix) !<br /> <br /> M'enfin bon... En progrès <br /> <br /> Question subsidiaire : tu crois que je suis trop centré à force de n'écouter que du classique ? Ceci demandé, tu penseras à pondre une notule sur ce que recouvre le terme "classique" <br /> <br /> <br />
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C
<br /> Jamais content ...<br /> <br /> Je ne sais pas ce qui leur a pris. Mais je ne vois pas en quoi ça te surprend. Les chanteurs ont toujours eu des lubies artistiques et/ou esthétiques à longueur de temps, auxquelles il faut<br /> applaudir en criant au génie sous peine d'être taxé de rigorisme rétrograde. Pas plus tard que ce matin, Inter consacrait un trentenaire reprenant les partitions pour piano de Haydn à la harpe, et<br /> il fallait trouver ça exceptionnel.<br /> Personnellement, je trouve cette version à deux voix (car ce sont deux chanteurs distincts) très satisfaisante. La complainte d'un seul devient, sortie du contexte des Pêcheurs de perles, le soupir<br /> amoureux de deux hommes pour la même femme ... et ce n'est pas particulièrement choquant, ça rajoute même un peu de tragique à cette chanson. ;)<br /> <br /> <br />